Le ministère du Travail a annoncé le 22 avril qu’il appliquera de nouvelles règles d’assurance chômage à partir du 1er juillet. L’UNSA regrette une nouvelle fois l’obsession du gouvernement à réduire les droits des plus précaires.
Le ministère du Travail a annoncé le 22 avril qu’il appliquera de nouvelles règles d’assurance chômage à partir du 1er juillet. L’UNSA regrette une nouvelle fois l’obsession du gouvernement à réduire les droits des plus précaires.
En ce Jour de la Terre, l’UNSA rappelle l’urgence absolue à relever les défis de la transformation écologique, le 22 avril comme tous les autres jours.
Après des mois de négociations difficiles, les organisations syndicales et patronales se sont séparées sur un échec.
À l’instar des autres organisations syndicales, l’UNSA constate que le compte n’y est pas.
L’UNSA avec la CFDT, la CGT, la FSU, et Solidaires, appellent à marcher le 23 avril 2024 à Béziers, « pour nos libertés, contre les idées d’extrême droite ».
Rendez-vous :
à 14h à Béziers
Bourse du Travail
Pour faciliter l’accès aux droits, l’UNSA propose de passer du droit quérable à une logique de droits automatiques. Cela pourrait permettre de limiter fortement le non recours à ces droits sociaux qui s’élève aujourd’hui à plus de 30% pour le seul RSA. C’est ce qu’envisage le gouvernement pour le RSA et la prime pour l’activité (PPA).
Après des semaines d’atermoiements, le gouvernement a tranché et validé le principe d’un reste à charge de 100 euros pour les salariés utilisant leur Compte personnel de formation (CPF).
Le projet de loi sur la fin de vie doit être examiné en Conseil des ministres ce mercredi 10 avril. Les signataires du « Pacte progressiste pour la fin de vie », dont l’UNSA est membre, demandent dans une tribune publiée, ce jour, par le journal « Le Monde », que soit retirée du projet de loi la condition de « pronostic vital engagé » pour bénéficier d’un suicide assisté, sous peine de rompre la promesse républicaine d’égalité.
En 1886, aux États-Unis, les travailleurs obtiennent la journée de 8 h de travail après deux années de mobilisation. Le 1er mai 1890, cette revendication est reprise par les travailleurs français.
En 2024, cette question ne se pose plus, mais le 1er mai reste un bon moment pour exprimer les revendications des salariés et des agents publics.